atelier du 03/05/2010
Minutes égrainées passées finies parties par la porte de la vie d'antan,
d'avant, quand le temps des armoires parlait avec la joie du cœur et la vibration de l'autre, l'enfance de la course, la genèse de la vie.
Après les aboiements des meutes affolées
Au rythme du vent de la terre
et les éléments font trembler l'homme aguerri au sens des mots.
Point de suspension
Point d'attente
la peur du sens et la peur de partir
Pourquoi ouvrir les joues du vide et gonfler la flamme de la joie quand pourtnat il se peut que l'on ait tort et qu'ailleurs soit meilleur.
Impossible de le dire sans le vivre.
Les mots sont trop fort, trop brutaux,
trop de faiblesse pesée sur l'après la parole
la pourpre odeur du fond de nos pensées
et le pourquoi de ces mots
du bras qui souffre à cause du crayon qui ne dit mot
de la tête vide de son après avoir tout dit
tout pleuré
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